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Une femme seule dans une pièce éclairée par un rayon lumineux est assise devant des fenêtres donnant sur un extérieur esquissé. La lumière qui envahit la pièce accentue la solitude et désigne un point immobile, une attente ou au contraire un moment de repos, sans aucune destination sinon l'éternité. Ce lieu clos, repoussant le monde extérieur derrière des fenêtres fermées, incite à la rêverie. La tranquillité de la pièce est matérialisée par la composition des objets simplement disposés, sans désordre apparent. Ces volumes n'expriment rien d'autre que la sérénité. Dans les deux tableaux,
nous retrouvons l'espace d'une pièce vue de biais et de son encoignure.
Cette perspective renforce, telle la proue d'un navire, le cheminement
de l'esprit dans la matière et invite notre regard à entrer
et à traverser la pièce. |
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"Mais dans ces rayons de lumière crue et forte, il y a une présence, comme une réponse à cette solitude des personnages, comme une écoute, un murmure, un espoir..." (Renée) | ||